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Les robo-advisors ou l’automatisation du conseil financier. Vers un nouveau cadre juridique en France et en Europe ?




Article - Revue Banque n°808 avril 2017 – Publication de Robert Devin en collaboration avec Thibaut Verbiest, Avocat associé DS Avocats (anciennement Avocat associé chez De Gaulle Fleurance et Associés.



La digitalisation et l’automatisation croissante du conseil financier ont conduit les autorités de tutelle européennes1 et nationales à s’intéresser aux robo-advisors (ou « robots-conseillers »)2 Brève analyse européenne et française de ces services de conseils automatisés dont l'actif global sous gestion pourrait passer de 20 milliards de dollars à fin 2015 à plus 450 milliards de dollars en 20203.



Par ses services d'assistance face à des contrôles, d'accompagnements, d'audits, de formations, de veilles réglementaire, Regalex aide les conseillers en investissements financiers(CIF), les courtiers d’assurance ou de réassurance (COA), les Fintech ainsi que les robo-adviors à mettre en œuvre les constats et recommandation des régulateurs européens et ceux nationaux.



1 Joint Committee of European Supervisory Authorities (ESA’s), respectively European Insurance and Occupational Pensions Authority (EIOPA), European Banking Authority (EBA) and European Securities and Markets Authority (ESMA).
2 16 décembre 2016, Joint Committee Report on automation in Financial Advice.
3 Selon l’étude indépendante publiée en 2015 par MyPrivateBanking, intitulée « Robo-Advisors 2.0 – How Automated Investing is Infiltrating the Wealth Management Industry ».